Titre: Les chroniques d’Utopia : Midgard tome 1 : Le réveil de l’Avatar
Auteur: Arnaud J.Laplace
Éditions: A.J Laplace (Auto-édition)
Année de parution: 2016
Pages: 596
Résumé :
Nous suivons le jeune Alzâck Hawk, jeune prodige, dans un monde nouveau: Utopia. L’adolescent de quatorze ans n’a pas acquis de magie dans ce futur, mais il est le meilleur stratège.
Son plus grand rêve est de posséder son propre navire, malgré son mal des transports. Avec l’aide de ses amis il va tout faire pour y arriver.
Le jeune homme présente des caractéristiques physiques étranges et Alzâck se pose de plus en plus de questions quant à sa réelle identité… Ce pourrait-il que les Avatars, surpuissants et mystérieux, existent encore?
Mon avis :
Je remercie l’auteur, pour m’avoir confié la lecture de son livre.
Je me suis retrouvée plongée dans un monde nouveau : fantastique et technologie se côtoient avec simplicité. Je n’ai pas beaucoup aimé ce mélange au début, mais grâce aux explications de l’auteur, j’ai pu mieux comprendre ce choix.
Le personnage principal, Alzâck, a seulement quatorze ans. Il est dénué de pouvoirs magiques mais possède un raisonnement sur-développé et une intelligence rare.
Je n’ai pas réussi à m’attacher à lui. Je n’aimais pas son caractère. Je le trouvais trop arrogant avec sa façon de dire « Je suis Alzâck Hawk, le meilleur Stratège d’Utopia » et blabla…
Je n’ai pas vraiment apprécié les autres personnages. Sauf peut-être Saarah. Une jeune vampire.
Je n’ai rien trouvé de spécial aux amis de notre jeune Alzâck…. Mais sans eux l’histoire n’avancerait pas!
J’ai adoré l’environnement dans lequel évoluent les personnages. Il est riche et l’auteur a pris le temps de creuser les caractéristiques de chaque espèces qui peuplent Utopia.
Vampire, orcs, nains… se côtoient en toute simplicité.
L’écriture est simple, fluide, riche et en même temps parfaite pour un « jeune lecteur » de douze-treize ans, qui lit bien.
Les petits plus qui le différencient des autres livres: les jolies illustrations, un bravo pour Noélie Dayma. Les notes en fin de chapitres m’ont parfois fait beaucoup sourire!